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feat rachel bilson

J'ai décidée de voir le jour un matin d'automne, plus précisément un vingt-quatre Octobre. Mes parents étaient riches et froid. La première chose qu'elle a dit en rentrant dans la maison, qui sera ma maison à présent, c'était a ma futur nounou, elle lui dit de prendre cette « chose » qui l'avait achevée. Je ne m'en rappel pas bien sûr ce fut ma nounou qui me le raconta. Mes parents n'assistèrent pas à mes premiers pas, ni à mes premiers mots. Trop occupés aux affaires. Le premier mot que je dis fut maman et je le dit à ma nounou. Cette dernière me raconta qu'elle avait été surprise de m'entendre prononcer ce mot pour elle. Parce qu'elle n'étais pas ma mère, ne pouvant pas avoir d'enfant. J'étais si innocente et naïve autrefois. L'enfance est l'innocence, la pureté incarnée. On écoute, on voit, on dit, mais on ne comprends pas. Notre âme d'enfant est trop pur et délicat pour y voir de la méchanceté ou de la mauvaise foi ou encore du rejet. On voit le monde comme un ange le verrait. On dit que les enfants voit ce que les adultes ne voit pas. Parce que eux on perdu l'innocence de l'enfance.Enfin je grandis dans cette grande maison, au côté de ma nounou. Mes parents étaient des inconnus pour moi. De pur et simple inconnu. Je ne connaissais pas mes parents. C'était fou quand même. Alors que j'avais six ans, je m'en rappel tout à fait. J'étais montée à l'étage, l'endroit où je n'avais pas le droit de monter. J'avais ouvert une porte. Il y avait deux bureaux, mon père sur l'un, ma mère sur l'autre. Ils étaient tellement concentrés sur leur travail, qu'ils ne firent même pas attention que j'étais là. Je me mis entre les deux bureaux. Et je dis en voyant un beau et grand tableau accroché au mur juste en face de moi :

Ohhh !!! Comme ces beau !!!
Qu'est-ce que tu fais là petite ?

C'était la voix de celui que j'appelais papa. Petite, il m'avais appelée petite. Non mais pour qui il se prenait. Il était mon père. Et ça avait été dit d'une tel façon, que lui devait me considérer comme un inconnue, comme moi je le considéré comme un inconnu. Celle que j'appelais maman, me regardée de son regard si froid à m'en glacer le sang. Un silence c'était fait. J'avais regardée tour à tour ces deux âmes et j'avais finis par dire.

C'est nul ici … Je retourne avec ma vraie maman ! Celle qui m'aime … Et je me trouverais un papa qui m'aime aussi.
C'est ça vas t-en bon débarras !

J'étais partie en pleurant et nounou m'avait consolée.Je commençais à sentir ce que c'était que le rejet. Puis les années passèrent encore et encore. J'entrais à l'école, j'étais une excellente élève Les professeurs étaient fiers de moi. Ils disaient que j'avais beaucoup de potentiel et de dans mon cerveau ça allait fort quoi. Je me rappel très bien de ce garçon. C'était LE garçon, j'avais peut être que dix ans, mais dès que je le voyais j'étais toute choses, il me rendait folle. Je savais que son nom : Léandre. Et qu'il était dans ma classe. Alors quand j'eus rassemblée tout mon courage j'étais allée m'assoir à côté de lui. Il était toujours tout seul, dans son coin. Donc je ne m'incrustais pas dans son groupe. Dés que le premier mot fut sortit.... d'autres arrivèrent … Et d'autres suivirent … On pouvait qualifié ça comme une conversation. Par la suite je passais tout mon temps avec lui. Je l'invitais souvent à la maison. Et nous étions si innocent. A dix ans on est toujours aussi innocent. Nous étions devenus inséparable.



Je devins une adolescence. J'étais toujours si proche de Léandre, il était devenue comme un frère, mon meilleur ami, mon confident. Le lycée me changea tellement. Je devins une vraie garce. Oui une garce presque sans cœur. Fessant des crasses aux filles que je n'aimais pas. Disons que vue l'ambiance à la maison. Je me vengeais sur elle, au lieu de hurler sur mes parents. Léandre lui n'aimait pas ça. Il détestait ce que je fessais. J'étais même devenue méchante avec lui. Parce qu'il savait comment j'étais. J'étais une fille si gentille, adorable, marrant, le cœur sur la main, il ne comprenait pas pourquoi j'avais ce comportement là. Un jour il me prit à l'écart et une dispute explosa entre nous deux. Pendant trois jours on ne se parla pas. Et puis un soir j'avais trouvée une bouteille de whisky dans le placard. Je l'avais descendu. J'étais si mal et je tenais à peine debout. Je réussi au moins à aller jusque chez Léandre. Il ne voulait pas m'ouvrir au début. Mais quand il vit que j'étais complètement bourrée. Il me fit rentrer et s'occupa de moi toute la nuit. Au petit matin quand je m'étais levée avec un mal de crâne affreux, je le vis là allongé sur le sofa en face de moi. Il m'avait veillé toute la nuit. Il avait senti mon regard et avait ouvert les yeux. Et de là je m'étais excusée de mon comportement idiot et j'avais fondue en larme. Le pardon avait été accordée. Et au lycée je changeais a la grande surprise de tout le monde. Puis je grandis, bientôt j'atteins les dix huit ans, puis les dix neuf, puis les vingts, puis les vingt et un puis les vingt deux ans. Je n'étais plus vraiment une ado. Mais j'en avais le comportement complètement hors norme, délirante. J'étais une enfant, une adolescente dans un corps à présent adulte.



Vingt trois ans. Ce vingt quatre octobre à Paris là où je suis née, je fêtais mes vingt-trois ans. Il y avait évidemment Léandre et beaucoup d'autre monde. Dans ma maison, ma si grande maison. Vers la fin de soirée, alors que tout le monde était endormis un peu éparpillés partout. Il me pris par le bras et m'emmena dehors. Je savais qu'il allait me dire quelque chose qui n'allais pas me plaire, mais pas du tout du tout. Il me regarda et il me dit qu'il allait partir. Je lui avais demandée où, il m'avait dit au Mexique à Tulum, il avait vue une annonce pour un programme Make me Happy. Je lui avais dit qu'il ne devais pas partir. Et là j'avais lâchée les deux mots, les sept lettres qui le fit fuir, je lui dis je t'aime. Après ça il ne répondit plus ni a mes appels, ni a mes sms. Plus aucun contact. Je mis quelques mois avant de me décider d'y aller aussi. Je me suis renseignée sur ce programme, je n'y croyais pas trop mais je voulais tenter le coup. Après tout peut être que le vrai bonheur existait vraiment. Et je serais avec Léandre en plus. Il fallait qu'on finisse notre conversation et surtout que l'on reparle de ses mots que j'avais dit. C'est pourquoi il y a trois jours j'ai pris mes bagages, vendu mon appartement et que j'ai pris cette avions. Il y a une semaine j'ai posée le pied ici. Et je m'y sens déjà comme chez moi. Le reste je ne le connais pas. Mon futur m'est encore inconnu.