M. Aubrey Stanford
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| Sujet: AUBREY ♣ Oh my gosh, you're so amazing. Lun 21 Juin - 18:15 | |
| MELISSA AUBREY, STANFORD, 23 ans.
(c) stainlessheart. ft. emilie de ravin.
TASTE ME DRINK MY SOUL.
- Citation :
- Il faisait nuit, et je regardais les poutres en bois placées en guise de plafond. Je somnelais dans mon lit, en écoutant la mélodie des animaux noctures. Ce soir-là, je n'arrivais pas à trouver le sommeil. J'avais une boule dans ma gorge, et cette boule m'empêchait de fermer mes yeux. J'avais peur, non pas de cette nuit-là, mais de ma vie. J'avais peur de continuer à avancer, je ne savais plus où j'en étais. J'essayais tant bien que mal de faire vide, mais je n'arrivais pas, je ne savais vraiment plus que faire. J'avais vingt-trois ans, c'était jeune, et je pourrai aller m'amuser dans Londres, mais je ne voulais pas, je ne m'en sentais pas capable. Et puis, je n'avais pas envie de prendre la voiture, de rouler, de passer sur le pont. Mes parents avaient loué une maison, si l'on pouvait appeler cela ainsi, à quelques kilomètres, très peu, de la capitale. Je m'y sentais bien, dans cette banlieue en campagne. Mais plus aujourd'hui. Malgré mes pensées qui me répétaient que c'était à cause de cette putain de fille, je continuais de penser à une autre raison. Malheureusement, je revenais toujours à ce point de départ. J'avais tellement peur.
C'était un soir comme les autres, avec une soirée. Je m'y étais rendue, dans l'espoir de trouver autre occupation que flâner. J'en avais marre de ne faire que cela. Alors je m'y suis retrouvée, et il y avait une foule de gens, enfin foule, peut-être est-ce un bien grand mot. Je voulais m'amuser, sortir de ces révisions ennuyeuses, et penser à être chose qu'aux études. En ce moment, je n'avais que ça en tête, même pas la place pour les amis, la famille. J'avais tout oublié. Et ma soeur qui partait en couille dès que je me plongeais dans un devoir. J'en avais assez. Alors j'ai bu, peut-être était-ce pour noyer ma souffrance, si c'en était une, ou pour le plaisir. Peut-être même un peu trop bu. Oui, mon état d'esprit avait viré au rouge, quand je dis rouge, cela veut dire que j'avais certainement un bon taux d'alcool dans le sang. Je priais pour n'être prise par aucun flic. Mais toutes ces conneries se stoppèrent au moment où je l'ai vu. Lui, ce beau brun mystérieux. Il m'impressionnait. Alors je me suis approchée vers lui, comme une conne, comme si il allait m'adresser la parole, et finalement, nous avons bien bavardé. Et puis, ça a été le coup de trop, le nez qui a picoté. Il m'a conduit dans un lit, qu'importe lequel, j'étais avec lui c'était l'essentiel, et il m'a embrassé. Le lendemain, sans que je ne me rappelle de rien, je devinais, par l'odeur de la piaule et sa présence, qu'on l'avait fait. Je m'impressionnais. Je ne pensais pas aller au bout, il était tellement beau, non, il était en couple, n'est-ce pas ? Il m'avait monté un sale coup ? Malheureusement, après toutes nos retrouvailles, qu'il m'ait demandé de sortir avec lui, j'ai su la vérité. Après tout ça, je suis tombée de haut, sur le cul dirons-nous. Il avait rompu. Salaud, traître, imbécile. Ca ne comptait donc pas pour lui tout ces rancards ? Non, ce n'était pas ça, je le savais. Au fond, j'en étais sûre. Une autre fille. Ca ne pouvait être que ça. Conard va. - Citation :
- L'affaire avec ma famille n'arrangeait pas mon histoire. C'est sûr qu'on ne roulait pas sur l'or, c'était certain, mais on s'aimait, oui, aimait. Je ne comprenais toujours pas pourquoi cette absurdité. Mais soit, je me suis rendue au fait. La nuit venait de s'éclipser, laissant place peu à peu au jour. Finalement, j'avais réussi à dormir, bien que peut-être deux, trois heures. Et je savais que cette nouvelle journée n'allait pas me faire une fleur. C'était la réunion de famille. Encore, et toujours. J'étais tenue d'y assister, je ne pouvais même pas m'enfermer dans ma chambre ou rejoindre mes potes. Pour une fois que j'en avais envie, que je voulais me rattraper de tout ces moments de révisions. C'était de la merde. Malheureusement, je n'avais jamais le dernier mot là-dessus. Vous vous imagez, vous, une semaine privé d'argent de poche ? Je voulais économiser, et une liasse de moins m'était fatale. Je comptais, avec ces dix euros par mois, seul budget que mes parents pouvaient m'offrir, me payer quelque voyage qu'il soit, mon enseignement privé, étant toujours allée dans le publique, et mon appartement, avec ma voiture. Je savais toutefois qu'il me faudrait une éternité, puis avec ma soeur qui m'en piquait tout le temps. Ma chance, elle n'avait jamais existée, ou plutôt tournée, mais je comptais bien la reconquérir. Je ne me laisserai jamais faire par une salope. Je voulais mon Caesar, je le voulais, c'était pour moi mon premier grand amour. Et je ne lâcherai pas.
Mélissa, prépare-toi immédiatement. Encore ma mère. Ca faisait dix bonnes minutes qu'elle me parlait à travers ma porte. Je ne lui répondais pas, parce qu'elle savait que j'en avais ma claque de ce prénom, ce fichu deuxième prénom. Pourquoi pas Aubrey tout simplement ? Mais je me rendis, et me préparai sagement. A chaque réunion, je priais pour une bonne nouvelle, heureuse, parce qu'il y avait toujours un drame, plus si une réunion était plus proche de la dernière faite. Maudite tradition va. Alors que je me coiffais, ma soeur entra à la volée dans ma chambre, chose qu'elle n'avait pas l'habitude de faire. Qu'est-ce tu fous là toi ? T'es pas chez ton chéri comme tu dis si bien ? répliquai-je d'un ton moqueur. Oh toi, la ferme. Sans réaliser qu'elle était dans ma chambre, elle continuait sa fouille. Pour trouver le rouge à lèvres que je voulais mettre. Mais c'était toujours comme ça. Et je devais opter pour une autre saveur de gloss. La famille était tellement sympathique. Je descendai, après avoir trouvé mon nouveau gloss. Toute la troupe était là, sauf ma soeur, comme à ses putains d'habitudes. C'était toujours la dernière, et elle ne se faisait jamais engueuler. J'avais horreur des gens qui disaient des autres préférés. Mais c'était quoi cette mode ? Sans dire autre mot, je m'installais à table. J'entendais déjà le brouhaha surmonter ma petite voix qui s'adressait à ma mère, pour savoir ce que l'on mangeait. Et je n'ai pas pu savoir, faute de bruit. Et au moment où mon oncle haussa la voix, tout le monde se tut. On eut droit au discours quotidien, qui endormait tout le monde, mais je me remis vite en forme quand j'entendis mon nom. Je partais en vacances, il me tendit mon billet. Je ne savais pas pourquoi soudainement on m'envoyait au Mexique, mais j'étais si fière, que je lui embrassai sa joue et filai dans ma chambre préparer mes valises. Je ne pouvais attendre plus longtemps. Ce fut à mon arrivée que je découvris le pourquoi du comment. Alors je paraissais si malheureuse que cela ?
I REALLY FUCKING LOVE YOU.
PSEUDONYME/PRENOM : Coraline. AGE : 13 ans. AVATAR : Emilie de Ravin. GROUPE : Vacancière. AUTRES :
Dernière édition par M. Aubrey Stanford le Lun 21 Juin - 20:12, édité 4 fois |
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L. Heroyd Damsett-Fied DRINK,SMOKE&BEALIVE
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M. Charlie Blackbirth
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| Sujet: Re: AUBREY ♣ Oh my gosh, you're so amazing. Lun 21 Juin - 18:18 | |
| EMILIE Welcome here & bonne continuation pour ta fiche |
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S. Caesar Bowen
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| Sujet: Re: AUBREY ♣ Oh my gosh, you're so amazing. Lun 21 Juin - 18:20 | |
| emilieeeeeeeeee, mon emilie bienvenue &&. merci d'avoir pris le scénario |
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M. Aubrey Stanford
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| Sujet: Re: AUBREY ♣ Oh my gosh, you're so amazing. Lun 21 Juin - 20:14 | |
| J'ai terminé. En passant, merci pour cet accueil. Puis, Caesar, dis-moi si quelque chose ne te va pas, je rectifierai. J'ai essayé de faire de mon mieux, et vite, pour ne pas me faire piquer le rôle, tellement que je l'aime, et surtout pour RP. |
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