merde, Charlie ! Fais chier. Il nous reste deux heures et il faut remettre notre putain d'essai qu'on a pas commencer. Voila comment tout a commencer entre eux. Les études en journalisme c'était l'idée de mon père. Il était journaliste et son père avant lui. Voilà pourquoi j'étais obliger de faire ce stupide travail sur l'histoire du journalisme. De plus, la chance, j'étais obliger de faire équipe avec la fille qui est aussi canon qu'elle a un caractère de merde. Dieu qu'elle était belle. Alors on se chicana, on travallait fort et finalement on a obtenu une extra bonne note. Puis un jour je l'ai embrasser. Si j'avais su qu'elle me giflerais après, je me serait abstenue a coup sûr. Elle eu des petits amis, j'eus des petites amies. Je voyais les mecs avec qui elle sortait et ça me rendait malade. Elle finissait le cœur brisé et moi qui lui disait qu'elle pouvait trouver tellement mieux. Puis elle réalisa ce que je voulais dire. Que le mieux, c'était moi. Ça l'avait toujours été. 

Charlie ... Il faut parler. Nous étions dans mon lit, dans mon appartement. J'étais sur elle et j'avais enfouit mon visage dans son cou. Je l'embrassait légèrement, mais je voulais parler. Sérieusement. Ferme-là et embrasse-moi. On a d'autre chose a faire que de parler, idiot. Je soupire légèrement, toujours dans son cou. Je suis nerveux. J'ai peur de ce qu'elle me dira. Je me relève finalement et me dégage d'elle. Elle semble fâchée, car je ruinait sa journée. J'avais quelque chose a lui dire. Elle se leva du lit, ennuyée, car je voulais pas baiser. On était en couple depuis deux ans. Elle devait savoir que je l'aimais et elle savait pertinemment que j'étais le premier a lui sauter dessus. Marie-moi, Charlie Blackbird. elle se retourna d'un bloc. Elle ne savait pas quoi dire et je lui montra la belle bague de fiançailles que j'avais acheter pour l'occasion. C'était la belle vie. Elle accepta et j'étais l'homme le plus heureux du monde entier. 

JE SUIS DÉSOLÉ, CHARLIE. Elle était belle en robe de mariée. Toutefois, moi je faisais pas classe habiller en t-shirt et en Jean a mon propre mariage. J'avais abandonné, je pouvais pas supporter qu'on devienne un couple qui entrerais dans une routine, je supportais pas de vieillir. Je l'avais abandonné au plus beau jour de sa vie. Elle se retourna vers moi alors que j'essayait de la rattraper pour m'expliquer. Elle me lança sa bague, que je rattrapa de justesse. Y'a pas un putain de moyen que je te pardonne ta connerie Middleton. Toi et moi, ça n'existe plus. N'a jamais exister comme tu viens de me le prouver.  

Bienvenue a Make Me Happy, mon vieux Je soupira longuement. J'avais vu cette annonce a la télévision et je m'étais dit pourquoi pas. Alors on se parle tout seul ? Je me retourna. Je vis cette blonde. Elle était grande, carrément canon. Je lui souri un peu, malgré la douleur que je ressentait constemment au milieu de la poitrine, où j'avais le souvenir de celle que j'aimais que j'avais lâchement laissée tomber. Nan, enfait, je pensais a haute voix en espérant que personne ne m'entende ... J'suis Machiavel. Je lui tendit la main, ne sachant que faire d'autre. Elle la serra en riant. Enchantée Machiavel. J'espère que tu vas te plaire ici. Elle s'en alla et moi, totalement sous son charme, je réalisa qu'elle ne m'avais pas dit son nom. HEY ! Tu me dis ton nom ? elle se retourna et me souris. Elle ressemblais tellement a Charlie. Chelsea. Qui aurais cru que quelques jours plus tard je sortais avec elle. Je l'aimais, vraiment. Mais je voyais Charlie partout et franchement, ça m'obssedait.  

WELCOME!